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Une sonorIsation PERFORMANTE pour l’eglise saint miChel

Dorénavant, à Saint Michel, il n’y aura plus à tendre l’oreille pour écouter l’homélie du prêtre ou les lectures liturgiques, il sera aisé de diffuser du son et de la musique depuis différentes sources, micro filaire et sans fil, CD audio ou mp3, clef usb ou smartphone émettant un signal Bluetooth, au moyen d’un amplificateur de qualité professionnelle et de six colonnes judicieusement placées pour sonoriser tout le volume de la nef. Afin de câbler chaque colonne, il a fallu conduire des câbles tout en haut des corniches, à près de 9 m de hauteur. C’est encore Robert Stefani, décidément une précieuse ressource humaine, qui s’est chargé de l’achat du matériel, de son installation et des réglages, avec l’aide de Paul Battesti et de membres de sa famille.
C’est fortuitement que cet équipement a d’abord servi pour célébrer deux cérémonies de funérailles le même jour, vendredi 21 mai, pour accompagner vers leur dernière demeure deux habitants bien connus de notre commune, Augustin Baccarelli de E Celle, 64 ans,et Marie-Thérèse Battesti, de Nocario, 94 ans. Les obsèques n’en ont été que plus dignes. Peut-être avant les prochaines fêtes religieuses de l’été pourra-t-on inviter les habitants à inaugurer la nouvelle sonorisation au cours d’une audition de musiques sacrées et profanes. Peut-être …

Un environnement musical de qualité

Un VITRAIL pour la chapelle saint jean à Petricaggio

Robert Stefani, qui s’est déjà illustré par la création et l’installation de vitraux dans l’église paroissiale Saint Michel, avait proposé d’apporter un élément d’embellissement à la chapelle Saint Jean à Celle e Petricaghju. Il en a dessiné le projet, conforme à la vénération de Saint Jean Baptiste, le saint éponyme de la chapelle, ornée au fronton de la célèbre sentence : « non surrexit major Ioanne Baptista », il n’est pas né plus grand que Saint Jean Baptiste, en écho à la parole du Christ dans l’évangile de saint Luc (7, 28)  « Je vous le dis : Parmi ceux qui sont nés d’une femme, personne n’est plus grand que Jean ; et cependant le plus petit dans le royaume de Dieu est plus grand que lui. » Le vitrail représente un agneau, rappelant la parole du Baptiste dans l’évangile de Jean, 1,29  « Le lendemain, voyant Jésus venir vers lui, Jean déclara : « Voici l’Agneau de Dieu, qui enlève le péché du monde« , avec un phylactère sur lequel est écrit en latin « Ecce agnus Dei » (Voici l’Agneau de Dieu), parole que le prêtre reprend à la messe pendant la prière eucharistique. On retrouve le soleil couchant sur le San Petrone, les colombes de la paix et les couleurs dominantes assurant l’unité avec les vitraux de Saint Michel. L’œuvre est à la dimension de la grande fenêtre de la chapelle de la façade de la chapelle, et des travaux sont en cours pour confectionner un cadre vitré protecteur, et un système de charnière permettant de mouvoir le vitrail en cas de nettoyage ou réparation. Ainsi, la chapelle Saint Jean sera éclairée pour les fidèles par une lumière magnifiée par l’Agneau et la foi du prophète qui baptisa le Christ au bord du Jourdain. Robert n’a pas monnayé son travail, qu’il offre à la communauté villageoise. Les fournitures ont été payées par la générosité de ceux qui ont participé aux dons pour la conservation des églises de Nocario. Conserver la beauté de nos chapelles et de notre église, est une façon concrète de sceller l’unité de ceux pour qui Nocario et ses hameaux reste cher à leur cœur.

Nouvelles recentes


Une réunion a eu lieu à Erbaggio avec les représentants du fournisseur d’accès Orange en vue de l’installation d’une antenne pour améliorer la couverture du réseau. Le dossier suit son cours.

Rencontre avec les délégués du fournisseur d’accès Orange
Rencontre sur site


La route au niveau de l’église Saint Michel est enfin réparée. Reste à poser l’enrobé.

San Pedrone sur fond d’azur

La montagne qui domine Nocario et toute la Castagniccia force chacun à lever les yeux vers le ciel. Qu’on l’admire de sa base ou que l’on grimpe à son sommet, cette pyramide naturelle ne livre jamais son mystère. Elle couvre de ses larges épaules protectrices les villages de l’Orezza et de l’Ampugnani, excite l’imagination qui voit dans les lignes de sa cime de multiples figures animales. Le San Pedrone semble source d’énergie et de force spirituelle pour tous ceux qui le contemplent et vivent à l’abri de sa présence minérale et divine.

Nanou Battesti le photographie, dès que sa lumière se met à vibrer. Les jours d’hiver dans l’île de Corse, quand l’air devient d’une enivrante limpidité, le ciel est d’un bleu profond et mystique. La montagne s’y découpe avec une vertigineuse netteté. Le téléobjectif puissant révèle de multiples détails où l’oeil cherche la vie, le mouvement secret et s’abîme dans la contemplation. (Photos Nanou Battesti)

Et un panoramique en vidéo …

Quelques photos souvenirs des annees 80

Nanou Battesti a procédé à la numérisation de vieilles diapositives saisies lors de rassemblements traditionnels du village, occasion de faire revivre des visages dont beaucoup sont aujourd’hui disparus, ou fixés dans une jeunesse qui, nous le savons tous, n’est pas éternelle. Beaucoup d’expressions, et c’est leur intérêt, ont été saisies à l’insu des personnes, révélant une touchante vérité, engendrant la nostalgie, certes, mais aussi la tendresse envers ceux que nous aimons. Surtout n’hésitez pas à commenter ces images ! (Photos Nanou Battesti)

Poudre de neige, début d’hiver

Quelques flocons sont tombés sur le haut du hameau de Nocario, annonçant l’hiver. C’est le temps où l’on se calfeutre et où l’on profite du feu de la cheminée. L’hiver sera-t-il plus ou moins rude cette année ? (Photos Nanou Battesti)

Sainte barbe fêtée, mais masqués

Par un temps froid et pluvieux, dix-huit personnes se sont rassemblées dans La Chapelle de Nocario pour prier et célébrer la fête annuelle de la Sainte à laquelle La Chapelle de Nocario est dédiée. Crise sanitaire oblige, les masques étaient de rigueur, tant chacun est conscient de l’importance de tous nous protéger de la sournoise contagion. Qu’importent les conditions, pour les plus fervents et les plus fidèles aux traditions villageoises, vénérer la sainte était impératif. Que ces prières puissent aider à nous délivrer de cette inédite pandémie.

Procession de 1992

Quelques fidèles de la procession de 1992. Des visages aimés et disparus.

Photo prise sur le parvis de la chapelle Sainte Barbe, lors de la procession de 1992, où l’on reconnaît Laurence, Gisèle, sa sœur Francine et leur mère Anna, Charlotte, Lucie, Annick. Celle dont on ne voit que le front est Paulette Zanettini. Les deux fillettes sont Anne-Julie Martinez, la fille de Thérésa, et sa cousine Marina, qui tient la croix, fille de Nanou et Marie-Claude. Si quelqu’un connaît la jeune femme la main sur le menton, qu’il nous fasse passer l’information.